En attendant Bojangles

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Pas encore lu. Mais vu la beauté de la couverture, l’unanimité des critiques ainsi que la référence à Boris Vian, le roman de Olivier Bourdeaut En attendant Bojangles (éd Finitude) ne devrait pas tarder à figurer dans ma bibliothèque.

Présentation de l’éditeur

Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur «Mr. Bojangles» de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.
Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c’est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. C’est elle qui a adopté le quatrième membre de la famille, Mademoiselle Superfétatoire, un grand oiseau exotique qui déambule dans l’appartement. C’est elle qui n’a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères.
Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l’inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte.
L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.
L’optimisme des comédies de Capra, allié à la fantaisie de L’Écume des jours.

Presse

Retenez bien le nom de cet inconnu: Olivier Bourdeaut. A 35 ans, il sera bientôt fameux et son premier roman va faire un tabac. […] Dans une prose chantante, il fait sourire les larmes et pleurer l’allégresse. Il mérite le succès qui va fondre sur cette fable extravagante et bouleversante.
Jérôme Garcin, L’Obs.
Dans ce roman, la fantaisie règne en maître. L’auteur nous plonge dans un capharnaüm joyeux et plein d’esprit, où l’on se délecte.
Sandrine Mariette, Elle.
C’est le pari de LIRE en cette rentrée: un premier roman friandise, gai comme un jour de fête, doux comme un bon bain chaud. Pour l’ambiance littéraire, imaginez Jacques Prévert, Raymond Queneau et Roald Dahl se dandinant autour du pianocktail de Boris Vian.
Estelle Lenartowicz, LIRE.
Voici un premier roman qui m’a emballé: c’est extravagant, c’est léger, c’est pétillant. Un coup de maître.
François Busnel, La Grande Librairie (France 5).